A celui qui... (part.2)
Je vous parlais ici de cette personne que je croisais au hasard de mes sorties depuis quelques mois et qui me plaisait plutôt bien mais avec lequel rien ne s'était vraiment encore passé, quelques mots et un baiser prometteur mis à part. A force d'attendre, de se regarder et de se désirer, concrétiser la rencontre devenait une grosse pression. Allait-on tenir la promesse de ce qu'on semblait vouloir de l'autre? Allions-nous pouvoir être "compatibles"? Il est finalement plus facile de consommer "on the go". A savoir coucher le 1er soir. Au moins, on sait à quoi s'en tenir tout de suite et cela nous évite de fantasmer sur l'autre et/ou sur ses diverses ou possibles aptitudes. S'il est évidemment agréable de "faire monter la sauce", quand ça ne se passe pas terrible-terrible, le coup est plus dur à encaisser (si je peux dire - lol)...
Alors c'est pourquoi j'ai décidé que nous franchirions le pas cette semaine. Que c'était idiot d'attendre "le bon moment" (il n'y en a d'ailleurs jamais, de bon moment, pour faire ou dire les choses de manière générale) et qu'il ne fallait pas qu'on se mal-conditionne sur nos attentes respectives. Le garçon a été tout à fait ouvert à la proposition et nous convenons d'un rendez-vous de principe un soir de cette semaine. Comme nous hésitons encore un peu chacun de son côté (mais sans se le dire), on décide de s'envoyer des nouvelles le jour même pour savoir si... au cas où...
To be continued...